C’est un effet collatéral de mon opération des yeux : interdite d’eau sur le visage (l’ophtalmo n’a pas précisé la durée exacte de la cicatrisation, mais comme je ne l’enlève les fils que dans deux semaines, j’attendrai jusque là). Bref, ça complique sacrément la vie quand on ne jure, comme moi, que par un produit démaquillant et/ou nettoyant qui se rince… Sans parler du shampooing, pour lequel je dois ressortir les caches à fixer devant mes yeux pour éviter toute projection d’eau ou de produit. La salle de bain, c’est fun chez moi ces dernières semaines, hein ?!
Les deux premières semaines, en convalescence chez mes parents, je me suis contentée de passer un coton imbibé d’eau florale de lavande matin et soir sur mon visage. Finalement, cette formule très légère n’a pas occasionnée trop de dégâts à mon épiderme. Comme quoi, parfois, le trop est l’ennemi du bien.
De retour à Bruxelles, je me suis plongée dans la Birchb*x green reçue au mois de mai et j’en ai enfin sorti l’éponge Konjac. Une révélation. Si je ne me maquille toujours pas, je nettoie maintenant un peu plus en profondeur mon visage le soir à l’aide de cet objet miracle. Miracle, car il suffit de la passer sous l’eau tiède, de la rincer après usage pour la nettoyer et de la pendre pour la laisser sécher jusqu’à la prochaine utilisation. Et franchement, je pense que ma peau apprécie… en tout cas, plus que l’huile de jojoba que j’utilisais dernièrement et qui ne m’a peut-être pas trop trop bien réussi…
Comme quoi, une opération, un impératif de changement dans ma routine et j’ai découvert une petite chose que j’ai définitivement adoptée. Quoique, la prochaine, je l’achète adaptée à mon type de peau, cette fois !
Et vous, l’éponge Konjac, vous connaissez ? fan ou pas fan ?